Après une nuit de rêves variés au souvenirs diffus, nous entrons dans cette nouvelle journée à 6H30. Il est déjà 13h30 en France… Le jour est levé derrière les rideaux et la mer du Golfe du Mexique occupe tout l’horizon. Hier à Miami… aujourd’hui en mer. La magie continue… Le navire glisse sur les eaux légèrement tumultueuses… les vagues aux crêtes écumeuses fouettent la coque en oblique… la structure métallique, quelque peu chahutée, émet des craquements et parfois quelques bruits sourds en écho à la force de la houle. Au buffet Windjammer nous prenons une boisson chaude entourés par de robustes passagers aux non moins robustes petits déjeuners. La valse des serveurs, occupés à faire place nette sur les tables, garde un rythme élevé devant la frénésie alimentaire matinale. Sur le pont douze nous effectuons une marche en boucle, cadencée par le chaud et puissant souffle alterné du vent. Il alterne ses assauts… Tantôt il nous entraîne par une puissante poussée dorsale, tantôt il freine notre rythme en nous fouettant vigoureusement le visage. J’apprécie avec allégresse ce jeu ludique avec ce fougueux compagnon indomptable tant apprécié en son temps par les voiles des corsaires, boucaniers et autres écumeurs des mers. Le continuel ballet complice des nuages en camaïeu de gris dessine un ciel nouveau à chaque révolution tel un artiste peintre à l’impétuosité créative. Une séance de lecture précède un agréable déjeuner où quelques navires apparaissent et disparaissent à l’horizon. A 17h nous assistons au show sur glace au Studio B où les patineurs et patineuses excellent dans un éblouissant spectacle où la créativité des costumes rivalisent avec la créativité artistique dans un ballet orchestré par une partition musicale vibrante d’émotion. Je suis en liesse et mon être vibre de joie en écho à ces intenses instants de partage. Avant le spectacle de 19h animé avec brio par le trio noir américain " Horizon ", je joue quelques mélodies au piano dans la Suite Royale de Barbara et Ken où leur accueil est toujours aussi chaleureux.
A 20h nous avons la joie de manger ensemble au restaurant " Portofino ". La vision de nous rendre chez eux à Longview, au nord du Texas, avant notre retour sur France, s’ancre dans mon esprit. Avant sa rencontre avec Barbara en 2001, Ken vivait à Dallas. Il est venu ensuite s’installer dans la ville de Barbara, devenue sa femme depuis lors. L’esprit baigné par les nombreux merveilleux instants offert par cette radieuse journée, j’entre avec félicité et facilité dans un harmonieux sommeil.
Après une nuit de rêves variés au souvenirs diffus, nous entrons dans cette nouvelle journée à 6H30. Il est déjà 13h30 en France… Le jour est levé derrière les rideaux et la mer du Golfe du Mexique occupe tout l’horizon. Hier à Miami… aujourd’hui en mer. La magie continue… Le navire glisse sur les eaux légèrement tumultueuses… les vagues aux crêtes écumeuses fouettent la coque en oblique… la structure métallique, quelque peu chahutée, émet des craquements et parfois quelques bruits sourds en écho à la force de la houle. Au buffet Windjammer nous prenons une boisson chaude entourés par de robustes passagers aux non moins robustes petits déjeuners. La valse des serveurs, occupés à faire place nette sur les tables, garde un rythme élevé devant la frénésie alimentaire matinale. Sur le pont douze nous effectuons une marche en boucle, cadencée par le chaud et puissant souffle alterné du vent. Il alterne ses assauts… Tantôt il nous entraîne par une puissante poussée dorsale, tantôt il freine notre rythme en nous fouettant vigoureusement le visage. J’apprécie avec allégresse ce jeu ludique avec ce fougueux compagnon indomptable tant apprécié en son temps par les voiles des corsaires, boucaniers et autres écumeurs des mers. Le continuel ballet complice des nuages en camaïeu de gris dessine un ciel nouveau à chaque révolution tel un artiste peintre à l’impétuosité créative. Une séance de lecture précède un agréable déjeuner où quelques navires apparaissent et disparaissent à l’horizon. A 17h nous assistons au show sur glace au Studio B où les patineurs et patineuses excellent dans un éblouissant spectacle où la créativité des costumes rivalisent avec la créativité artistique dans un ballet orchestré par une partition musicale vibrante d’émotion. Je suis en liesse et mon être vibre de joie en écho à ces intenses instants de partage. Avant le spectacle de 19h animé avec brio par le trio noir américain " Horizon ", je joue quelques mélodies au piano dans la Suite Royale de Barbara et Ken où leur accueil est toujours aussi chaleureux. 
A 20h nous avons la joie de manger ensemble au restaurant " Portofino ". La vision de nous rendre chez eux à Longview, au nord du Texas, avant notre retour sur France, s’ancre dans mon esprit. Avant sa rencontre avec Barbara en 2001, Ken vivait à Dallas. Il est venu ensuite s’installer dans la ville de Barbara, devenue sa femme depuis lors. L’esprit baigné par les nombreux merveilleux instants offert par cette radieuse journée, j’entre avec félicité et facilité dans un harmonieux sommeil. 
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