samedi 27 décembre 2008

Las Vegas... "Zhumanity" au New-York New-York

Voici un mois aujourd’hui que nous sommes partis de notre belle Haute-Savoie. Dans la matinée Edith Piaf chante dans l’ascenseur qui nous descend au niveau du casino où nous allons acheter des cartes postales et une boisson chaude à consommer dans la chambre. Alors que je suis en séance d’écriture, Patrick intègre la file d’attente à 11h pour le lunch au " Village buffet " tout en écoutant de la musique au Ipod. Je le rejoins environ 90mn après et c’est seulement à 12h45 que nous passons à la caisse ! Le nombre de voyageurs va crescendo pour cette période de fête et dans nos déplacements nous nageons régulièrement dans une marée humaine. Après 15h, nos pas nous conduisent, tour à tour ...au Bellagio ...au Monte Carlo ...au New-York/New-York ...et à l’Excalibur. Un Tram aérien nous dépose ensuite au Madalay Bay. Nous passons devant le Luxor dont la pyramide, dans la nuit venue, est délimitée dans l’espace par des rayons lumineux blancs en mouvement le long des quatre arêtes. Après la réservation du spectacle " Mama Mia " à découvrir prochainement, nous faisons une pause au " Swan Chocolate " où Bernadette nous sert deux chocolats chauds au lait de soja. Vers 19h, nous retournons par le tram à l’Excalibur et nous nous dirigeons au New-York pour assister au spectacle " Zhumanity ". Je le reçois comme un éloge de la beauté dans ses différences et l’éloge des différences dans leur beauté. Ce show est une ode à l’amour, au sexe et à la beauté ; les trois scènes suivantes en reflètent l’essence. Dans une grande coupe de champagne, transparente et évasée, emplie d’eau, deux naïades lesbiennes dansent le sexe et l’amour avec une sensualité à fleur de peau et leur souplesse extrême épouse la fluidité de l’eau. Deux garçons gais, un à la peau couleur de jour et l’autre couleur de nuit, luttent quasiment nus, coiffés par une cage à barreaux descendue du ciel, dans un combat complice et viril où l’attirance sexuelle s’exprime dans une valse des corps qui attirent et repoussent les pulsions. Suspendu à un ruban, un nain au corps harmonieusement musclé vole dans les airs dans une danse gracieuse et spectaculaire, emportant parfois au firmament, sa princesse au corps élancée, dans un tourbillon au corps à corps aérien. C’est l’esprit baigné de beauté où tous les possibles viennent d’être offerts à l’Humanité que nous retournons à notre Hôtel pour une nuit paisible. Dans l’ascenseur, c’est Charles Aznavour qui chante… l’amour…

1 commentaire:

Unknown a dit…

Salut les garçon , on s'amuse bien d'apres ce que je vois sur ce blog , ICI , froid , neige ....
A bientot

Ginette / Chantal .