jeudi 5 février 2009

Brunswick - Savannah, Georgie (USA)

Nous quittons Brunswick pour Savannah. De chaque côté de la route s’étend une lande de pins et d’herbes jaunâtre marécageuses. Le soleil est au rendez-vous avec un froid d’hiver. La chaleur devrait augmenter ces jours. Il est prévu pour ce week-end un 20° !
La ville vient à nous d’un seul coup après un enchevêtrement de routes et derrière un rideau d’arbres. Les bâtiments sont bas avec trois étages maximum. Ici, les grattes-ciels ne sont pas de mises. Nous laissons la voiture au parking de l’hôtel qui se trouve à une des extrémités du centre historique de Savannah et nous allons au restaurant à pieds. Le " Lady & Son " se trouve au 102 West Congress street. L’établissement fonctionne avec 3 salles sur 3 niveaux. Il faut s’inscrire sur une liste pour pouvoir manger. La salle d’attente est une boutique où la propriétaire apparemment célèbre vend ses produits dérivés. Lorsque la " placeuse " nous appelle, elle nous donne un ticket qui nous indique la salle à manger disponible, ce sera pour nous au 3ème étage (soit 2ème en France). Le buffet est simple, beaucoup de plats à base de viandes et de poissons. Les pains offerts lorsque nous nous asseyons sont une boule avec deux sortes de farines difficile à déterminer et un blini. Les trois niveaux du restaurant sont pleins !
Après le repas, nous désirons boire un thé après quelques bars infructueux, nous trouvons un qui sert un chaï avec du lait de soja : " Café Ambrosia " sur 202 East Broughton street.
Nous déambulons dans le centre de Savannah. Le long des rues se dressent de vieilles bâtisses. Les artères de la ville alternent avec des petits parcs. Le soleil brille, et le ciel scintille d’un azur limpide. Le froid reste malgré tout intense. Les constructions sont colorés, originales, et toutes différentes. Nous atteignons le jardin Forsyth à l’extrémité de la centre historique. Au milieu du parc est érigé un curieux monument au souvenir des soldats mort pour la confédération. Ici, nous sommes en plein état sudiste. La ville a été épargné par la guerre de sécession et à conserver son cachet du XVIII° siècle.

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