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Vers 10h, nous partons pour une visite de la maison de Margaret Mitchell
http://www.gwtw.org/, sur Peachtree Street. Margaret est l’auteur, devenu célèbre, du livre "
Gone with the wind " (Autant en emporte le vent), lauréate du prix Pulitzer et inspiratrice du film qui porte le même nom avec comme acteurs principaux Vivien Leigh, Clark Gable, Leslie Howard et Olivia de Havilland et produit par David O’Selznick.
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Les festivités entourant la Grande Première du film à Atlanta eurent lieu le 15 Décembre 1939. Je suis sous le charme de la vie de cette romancière décédée accidentellement à l’âge de 48 ans, renversée par un taxi. Elle vécu avec son second mari John Robert Marsh, épousé le 04 juillet 1925, dans l’appartement n°1 de 1925 à 1932.
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Une des photos du blog offre la vision de la machine à écrire sur laquelle Margaret tapa les quelques mille pages de son roman entre 1926 et 1929, alors qu’elle était obligée de rester dans cet appartement suite à une blessure grave à la cheville. Sans cette blessure, ce romain aurait-il vu le jour ?
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Après une visite du musée, nous allons vers midi déjeuner au "
Whole Foods Market " situé à proximité. Vers 13h30, la ville d’Atlanta s’estompe dans le rétroviseur et l’esprit baigné d’images romantiques, Patrick et moi prenons la direction de la ville de Birmingham dans l’état d’Alabama. Après environ deux heures trente de route, nous arrivons au Comfort Inn, situé sur une hauteur, où la chambre 408 au 4ème étage offre une vue dominante sur une petite partie de la cité, très entendue géographiquement. Nous avons changé de fuseau horaire et nous "
retournons " une heure en arrière dans le temps. Vers 16h, donc, alors que nous souhaitons nous diriger vers le "
Whole Foods Market " local pour une boisson chaude, l’adresse proposée est inconnue du GPS. Une recherche complémentaire sur Internet est nécessaire dans la chambre afin de cerner la rue la plus proche pour la saisir dans l’ordinateur du Never Lost Système. Sans son concours, trouver le magasin Organic revient à trouver une "
aiguille dans une botte de foin ". Le long du trajet, d’environ six miles, de superbes maisons en brique "
à l’anglaise " attirent mon regard. J’apprécie d’apercevoir ces maisons entourée d’arbres et de verdure. A la nuit tombante vers 17h30, au retour du superbe magasin en briques rouges également, lequel semble très récent, un flot continuel de voitures sur plusieurs voies, occupe la route en sens inverse, tel un "
collier de lumière " ondulant dans le creux de la vague de la route. Le chemin du retour est différent et je constate que Birmingham, avec beaucoup d’espace de verdure, a vraiment un air de Canterbury ;
une rue porte le nom de cette ville anglaise du Kent. Après un temps pour sélectionner l’hôtel de notre prochaine étape à Memphis dans le Tennessee, nous dînons confortablement installés dans la chambre. L’esprit baigné des images de la matinée "
chez Margaret ", j’entre facilement aux pays des rêves.
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Les festivités entourant la Grande Première du film à Atlanta eurent lieu le 15 Décembre 1939. Je suis sous le charme de la vie de cette romancière décédée accidentellement à l’âge de 48 ans, renversée par un taxi. Elle vécu avec son second mari John Robert Marsh, épousé le 04 juillet 1925, dans l’appartement n°1 de 1925 à 1932. .JPG)
Une des photos du blog offre la vision de la machine à écrire sur laquelle Margaret tapa les quelques mille pages de son roman entre 1926 et 1929, alors qu’elle était obligée de rester dans cet appartement suite à une blessure grave à la cheville. Sans cette blessure, ce romain aurait-il vu le jour ? .JPG)
Après une visite du musée, nous allons vers midi déjeuner au " Whole Foods Market " situé à proximité. Vers 13h30, la ville d’Atlanta s’estompe dans le rétroviseur et l’esprit baigné d’images romantiques, Patrick et moi prenons la direction de la ville de Birmingham dans l’état d’Alabama. Après environ deux heures trente de route, nous arrivons au Comfort Inn, situé sur une hauteur, où la chambre 408 au 4ème étage offre une vue dominante sur une petite partie de la cité, très entendue géographiquement. Nous avons changé de fuseau horaire et nous " retournons " une heure en arrière dans le temps. Vers 16h, donc, alors que nous souhaitons nous diriger vers le " Whole Foods Market " local pour une boisson chaude, l’adresse proposée est inconnue du GPS. Une recherche complémentaire sur Internet est nécessaire dans la chambre afin de cerner la rue la plus proche pour la saisir dans l’ordinateur du Never Lost Système. Sans son concours, trouver le magasin Organic revient à trouver une " aiguille dans une botte de foin ". Le long du trajet, d’environ six miles, de superbes maisons en brique " à l’anglaise " attirent mon regard. J’apprécie d’apercevoir ces maisons entourée d’arbres et de verdure. A la nuit tombante vers 17h30, au retour du superbe magasin en briques rouges également, lequel semble très récent, un flot continuel de voitures sur plusieurs voies, occupe la route en sens inverse, tel un " collier de lumière " ondulant dans le creux de la vague de la route. Le chemin du retour est différent et je constate que Birmingham, avec beaucoup d’espace de verdure, a vraiment un air de Canterbury ; 
une rue porte le nom de cette ville anglaise du Kent. Après un temps pour sélectionner l’hôtel de notre prochaine étape à Memphis dans le Tennessee, nous dînons confortablement installés dans la chambre. L’esprit baigné des images de la matinée " chez Margaret ", j’entre facilement aux pays des rêves.
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